Laurice Schehadé
Liban, les larmes ont la couleur de l’eau
Préface de Salah Stétié.
Avant-propos de Charles-Albert Cingria.
C’est un petit livre sublime et je subis un profond étonnement en m’enfonçant dans sa lecture. Cette fraîcheur et cette richesse pour ainsi dire continuelle, cette vie qui manque dans la plupart des textes de la littérature contemporaine. Voilà qui est bien précieux.
Charles-Albert Cingria (à propos d’un recueil paru chez G.L.M.)
Laurice Schehadé, sœur du grand poète libanais Georges Schehadé, a ce verbe cristallin des francophones épris de leur langue, qui la traitent sans désinvolture ni emphase. Il y a d’ailleurs bien trop de malice dans ces neufs portraits du pays d’enfance pour jamais craindre ces deux écueils. Mais le personnage central de ce volume est le Liban, et, sous l’évocation rieuse, point le chant d’un pays meurtri que le recul des ans ne dépare pas de sa mélancolie.
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500 exemplaires sur vergé ivoire.
indisponible.